Depuis 30 ans, Contraste enseigne la photographie au grand public.

Mettre au point. Impressionner. Développer. Révéler. Maîtriser la technique. Eduquer l’oeil. La mission de l’atelier Contraste est d’enseigner toutes les aptitudes nécessaires à une pratique photographique de qualité.

En partageant leurs expériences du métier et leur passion du médium, les professeurs, tous issus d’écoles d’art, initient aux bases et perfectionnements de la photographie.

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3 weeks ago

Derniers jours!! L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!

Ouvert ce dimanche 14-18h!

Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.

@romboutscatherine présente « Réchauffement climatique et acidification des océans » : « À l’heure actuelle, notre planète est à un moment décisif de son histoire, où les conséquences du réchauffement climatique et de l’acidification des océans deviennent de plus en plus évidentes. L’océan, en absorbant un tiers de nos émissions de dioxyde de carbone (CO2), joue le rôle d’un gigantesque régulateur climatique. Cependant, cette absorption massive n’est pas sans conséquences. Elle se traduit par une acidification des océans, provoquée par la transformation du CO2 en acide carbonique dans l’eau. Les conséquences sont alarmantes : le pH de l’océan pourrait chuter à 7,7 d’ici 2100, un triplement de son acidité par rapport à la période préindustrielle où le pH était de 8,2.
Des études en laboratoire ont révélé que cette acidification accrue a des conséquences dévastatrices. Les récifs coralliens, qui sont des écosystèmes marins cruciaux, commencent à se dissoudre. Environ 60 % des espèces marines, telles que les palourdes, les huîtres, les moules, les ptéropodes, les ormeaux et les coquilles Saint-Jacques, voient leurs taux de calcification, de croissance et de survie chuter de manière significative, les rapprochant dangereusement de la raréfaction voire de l’extinction”…. à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !
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Derniers jours!! L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert ce dimanche 14-18h!
Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.
@romboutscatherine présente «  Réchauffement climatique et acidification des océans » : « À l’heure actuelle, notre planète est à un moment décisif de son histoire, où les conséquences du réchauffement climatique et de l’acidification des océans deviennent de plus en plus évidentes. L’océan, en absorbant un tiers de nos émissions de dioxyde de carbone (CO2), joue le rôle d’un gigantesque régulateur climatique. Cependant, cette absorption massive n’est pas sans conséquences. Elle se traduit par une acidification des océans, provoquée par la transformation du CO2 en acide carbonique dans l’eau. Les conséquences sont alarmantes : le pH de l’océan pourrait chuter à 7,7 d’ici 2100, un triplement de son acidité par rapport à la période préindustrielle où le pH était de 8,2.
Des études en laboratoire ont révélé que cette acidification accrue a des conséquences dévastatrices. Les récifs coralliens, qui sont des écosystèmes marins cruciaux, commencent à se dissoudre. Environ 60 % des espèces marines, telles que les palourdes, les huîtres, les moules, les ptéropodes, les ormeaux et les coquilles Saint-Jacques, voient leurs taux de calcification, de croissance et de survie chuter de manière significative, les rapprochant dangereusement de la raréfaction voire de l’extinction”…. à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !Image attachmentImage attachment
4 weeks ago

L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h!

Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.

@marielle.geerinckx présente « Révélations botaniques d’une vallée industrielle oubliée » : « C’est une histoire fascinante qui s’est déroulée au cœur de la vallée de la Vesdre, dans la région de Verviers. Pendant l’été 2021, la vallée a été touchée par des crues d’une envergure sans précédent. Les berges, longtemps ensorcelées par la Renouée du Japon, ont accueilli une nouvelle narration mêlant le passé industriel de la région à une renaissance surprenante.
Entre les années 1800 et le milieu du XXe siècle, la vallée résonnait de l’activité fiévreuse d’une industrie lainière, traitant la laine importée principalement d’Australie, d’Afrique du Sud et d’Amérique du Sud. La laine brute portait en elle une multitude de graines et de fruits, souvent armés d’épines et de crochets, qui s’accrochaient aux moutons pâturant dans la région. Après le lavage de la laine, ces graines se laissaient emporter avec les eaux usées dans la rivière et dans les années favorables, elles s’épanouissaient sur les rives exposées en aval…” à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !
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L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h!
Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.
@marielle.geerinckx présente «  Révélations botaniques d’une vallée industrielle oubliée » : « C’est une histoire fascinante qui s’est déroulée au cœur de la vallée de la Vesdre, dans la région de Verviers. Pendant l’été 2021, la vallée a été touchée par des crues d’une envergure sans précédent. Les berges, longtemps ensorcelées par la Renouée du Japon, ont accueilli une nouvelle narration mêlant le passé industriel de la région à une renaissance surprenante.
Entre les années 1800 et le milieu du XXe siècle, la vallée résonnait de l’activité fiévreuse d’une industrie lainière, traitant la laine importée principalement d’Australie, d’Afrique du Sud et d’Amérique du Sud. La laine brute portait en elle une multitude de graines et de fruits, souvent armés d’épines et de crochets, qui s’accrochaient aux moutons pâturant dans la région. Après le lavage de la laine, ces graines se laissaient emporter avec les eaux usées dans la rivière et dans les années favorables, elles s’épanouissaient sur les rives exposées en aval…” à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !Image attachmentImage attachment
1 month ago

L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h!

Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.

Delphine Dubois présente « Printemps silencieux » qui mêle vidéos et photographies: « C’est un temps bizarre où les oiseaux, qui pourtant disparaissent, reviennent dans notre champ de vision, notre attention, notre parole. Les oiseux reviennent ou plutôt : on y pense plus souvent, on en parle davantage, on tend l’oreille, (…) on se cramponne à leurs bienfaits, on les regrette déjà. Comme si on essayait de les entendre mieux (de les entendre enfin) au moment où ils s’en vont » - Marielle Macé – Une Pluie d’oiseaux
Dans son ouvrage « Silent spring », publié en 1962, la biologiste américaine Rachel Carson alerte ses contemporains sur les effets néfastes des pesticides sur l’environnement et en particulier sur les oiseaux. Malgré ce cri d’alarme précoce, malgré toute l’admiration que l’être humain porte à l’oiseau, pour son chant, pour sa capacité à voler, pour l’enchantement qu’il scucite, son sort ne s’est pas amélioré…. à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !
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L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h!
Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.
Delphine Dubois présente «  Printemps silencieux » qui mêle vidéos et photographies: « C’est un temps bizarre où les oiseaux, qui pourtant disparaissent, reviennent dans notre champ de vision, notre attention, notre parole. Les oiseux reviennent ou plutôt : on y pense plus souvent, on en parle davantage, on tend l’oreille, (…) on se cramponne à leurs bienfaits, on les regrette déjà. Comme si on essayait de les entendre mieux (de les entendre enfin) au moment où ils s’en vont » - Marielle Macé – Une Pluie d’oiseaux
Dans son ouvrage « Silent spring », publié en 1962, la biologiste américaine Rachel Carson alerte ses contemporains sur les effets néfastes des pesticides sur l’environnement et en particulier sur les oiseaux. Malgré ce cri d’alarme précoce, malgré toute l’admiration que l’être humain porte à l’oiseau, pour son chant, pour sa capacité à voler, pour l’enchantement qu’il scucite, son sort ne s’est pas amélioré…. à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !Image attachmentImage attachment
1 month ago

L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h!

Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.

@vivianecangeloni présente « Mission Vénus23 » : Nous sommes de la même nature que le ciel, les étoiles, le soleil, nous sommes poussière d’étoiles et univers à part entière.
Ces propos de l’astrophysicien Hubert Reeves ont légitimité mon ressenti de relation intime avec le cosmos comme habitat. J’ai souvent regardé Vénus se lever, si brillante que jadis on la croyait étoile. Vénus si proche de notre planète bleue. Vénus qui depuis les limbes mythologiques enchante notre imaginaire pour célébrer la beauté et l’amour...

Entre ciel et terre, mission de repérage Vénus23 nous rapporte des informations visuelles mêlant fiction et réalité. C’est la première étape d’une exploration à partir de la cosmologie de la relation de l’homme avec son habitat terrestre… à découvrir jusqu’au 25 février 2024!
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Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.
@vivianecangeloni présente «  Mission Vénus23 » : Nous sommes de la même nature que le ciel, les étoiles, le soleil, nous sommes poussière d’étoiles et univers à part entière.
Ces propos de l’astrophysicien Hubert Reeves ont légitimité mon ressenti de relation intime avec le cosmos comme habitat. J’ai souvent regardé Vénus se lever, si brillante que jadis on la croyait étoile. Vénus si proche de notre planète bleue. Vénus qui depuis les limbes mythologiques enchante notre imaginaire pour célébrer la beauté et l’amour...
Entre ciel et terre, mission de repérage Vénus23 nous rapporte des informations visuelles mêlant fiction et réalité. C’est la première étape d’une exploration à partir de la cosmologie de la relation de l’homme avec son habitat terrestre… à découvrir jusqu’au 25 février 2024!Image attachmentImage attachment+1Image attachment
1 month ago

L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024!
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Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.

@charlotte.deschutter présente la série « L’or blanc est éternel »: Dans un monde où les rêves maternels prennent vie au travers d’images idylliques de la mère nourrissant tendrement son enfant, le choix de l’allaitement maternel, créateur de l’or blanc, se dessine comme une quête sacrée. Telles des héroïnes modernes, les mères s’engagent dans cette aventure empreinte de dévouement. Cependant, il est crucial de reconnaître que cet or blanc tant désiré peut, en réalité, porter atteinte à la santé des nourrissons, mettant en péril les enfants tout en plongeant certaines mères dans les méandres de difficultés psychologiques. L’image idéale de la mère allaitante s’est inscrite dans l’imaginaire féminin dès l’enfance, influençant profondément leurs aspirations maternelles. Toutefois, à mesure qu’elles naviguent dans les eaux tumultueuses de la réalité, certaines réalisent que cet idéal peut cacher des risques insoupçonnés. Les PFAS, ces polluants éternels, sont des composés persistants qui se nichent dans divers produits de notre quotidien, imprégnant même notre environnement… à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !
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L’exposition « Des Mondes habitables » chez #ateliercontraste dans le cadre du @photobrusselsfestival est ouverte jusqu’au 25 février 2024! 
Ouvert jeudi et vendredi 17-20h et samedi et dimanche 14-18h! 
Contraste invite @manonlnjr à dialoguer avec cinq élèves de l’Atelier sur la notion de « Problématique environnementale, écologie et utopie » par le prisme de la photo et des sciences.
@charlotte.deschutter présente la série « L’or blanc est éternel »: Dans un monde où les rêves maternels prennent vie au travers d’images idylliques de la mère nourrissant tendrement son enfant, le choix de l’allaitement maternel, créateur de l’or blanc, se dessine comme une quête sacrée. Telles des héroïnes modernes, les mères s’engagent dans cette aventure empreinte de dévouement. Cependant, il est crucial de reconnaître que cet or blanc tant désiré peut, en réalité, porter atteinte à la santé des nourrissons, mettant en péril les enfants tout en plongeant certaines mères dans les méandres de difficultés psychologiques. L’image idéale de la mère allaitante s’est inscrite dans l’imaginaire féminin dès l’enfance, influençant profondément leurs aspirations maternelles. Toutefois, à mesure qu’elles naviguent dans les eaux tumultueuses de la réalité, certaines réalisent que cet idéal peut cacher des risques insoupçonnés. Les PFAS, ces polluants éternels, sont des composés persistants qui se nichent dans divers produits de notre quotidien, imprégnant même notre environnement… à découvrir jusqu’au 25 février 2024 !Image attachmentImage attachment+2Image attachment
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